En Guadeloupe, nous comptons 50 % de femmes présidentes de communautés d'agglomérations et de communes (trois sur six). Par ailleurs, beaucoup de femmes sont maires.
Plutôt que de prévoir des contraintes, ne serait-il pas plus judicieux d'inciter les femmes à déposer des listes qu'elles constitueraient elles-mêmes, sans que leur candidature soit conditionnée par les décisions des hommes ? Ces derniers vivent parfois mal cette logique de parité, comme si on leur enlevait quelque chose.
Je suis favorable à la promotion des femmes, dans une logique d'incitation plutôt que de contrainte.
Beaucoup de femmes ne tiennent pas à s'opposer aux hommes. Si nous mettions en avant les compétences des femmes et leurs capacités à diriger, le discours serait plus positif.