Je souscris à l'analyse de Laurence Rossignol présentant l'enjeu de la place des femmes au sein des intercommunalités comme prioritaire. Le combat sera difficile, ce qui appelle à conduire une réflexion pour que ceux d'entre nous, renouvelables aux élections sénatoriales de 2020, ne soient pas pénalisés.
Le bureau de l'intercommunalité à laquelle j'appartiens compte dix-huit hommes pour deux femmes. Je vous laisse donc imaginer la place réservée aux femmes au sein des organes de l'intercommunalité ! Quant au mécanisme proposé pour y promouvoir les femmes, il pourrait s'agir de préciser que le représentant de la commune au sein de l'intercommunalité soit le premier adjoint, celui-ci et le maire devant être de sexes différents.