Madame la sénatrice, les fermetures de services publics ou de bureaux de poste ont beaucoup contribué à la colère qu’exprime aujourd’hui un mouvement comme celui des « gilets jaunes ».
Lorsque vous n’avez plus comme seul guichet pour retirer de l’argent que le bureau de poste pour cause de départ de toutes les autres banques, vous avez un sentiment de déclassement. Nous le voyons aujourd’hui dans les territoires les plus ruraux comme dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville. J’attache effectivement beaucoup d’importance à cette question.
Dans le cas que vous évoquez, il y a eu des concertations.