« La gestion rigoureuse de la dépense publique, c’est la seconde condition de la croissance. Notre effort de redressement est tracé par notre programme de stabilité et par la loi de programmation des finances publiques, votée par le Parlement.
« Alors que le déficit atteint 7, 7 % du PIB en 2010, nous reviendrons à 6 % en 2011, à 4, 6 % en 2012, à 3 % en 2013 et à 2 % en 2014. »