Vis-à-vis de l’Algérie, monsieur le Premier ministre, vous êtes sur le fil du rasoir, entre accusation d’ingérence et accusation d’indifférence.
Quant au peuple algérien, je ne souhaite pas que s’illustre pour lui cette réflexion de Giuseppe Tomasi di Lampedusa dans Le Guépard : « Il faut que tout bouge pour que rien ne change » !