« Nos amortisseurs ont joué leur rôle, et la plupart de nos voisins n’ont pas eu le même privilège.
« Même au plus fort de la crise, le pouvoir d’achat a progressé : 1, 6% en 2009, 1, 3% en 2010. Du côté des prix, avec la loi de modernisation de l’économie, nous avons divisé par trois les marges arrière. La hausse des prix dans la grande distribution a été conjurée : ils sont désormais en baisse.
« Chacun sait que, pour les familles, et notamment les classes moyennes, le logement constitue la première des dépenses. »