Je remercie notre collègue Catherine Troendlé d'avoir pris l'initiative de cette rencontre, très intéressante. Je m'aperçois que nous n'utilisons pas tous les outils de communication qui sont mis à notre disposition : il est donc important de nous permettre de nous les approprier, et c'est tout l'intérêt de cette réunion. Je voudrais pour ma part relever un aspect de la communication sur lequel le Sénat pourrait faire plus d'effort. Il s'agirait de privilégier une manière de s'exprimer qui associe plus systématiquement le féminin : « Françaises et Français », « citoyennes et citoyens », par exemple, cela a du sens ! Même l'Académie française, dont on connaît les réticences dans ce domaine, s'est récemment prononcée en faveur de la féminisation des noms de métier ! Cela devrait nous conduire à nous interroger sur la féminisation, par le Sénat, de certains termes comme, par exemple, celui de « rapporteures »...