La commission considère que tous les objectifs sont prioritaires.
L’article 1er A fixe des objectifs ; lorsqu’il en cite un, cela ne signifie pas que les autres ne sont plus valables. Ainsi, s’il est précisé que l’on intensifie le recours à l’utilisation partagée des modes individuels de transport, comme l’autopartage ou le covoiturage, cela ne veut pas dire qu’on ne privilégie pas les transports en commun.
En outre, il n’y a pas lieu d’établir de priorités au sein même d’un objectif de la programmation.
La commission a donc émis un avis défavorable sur cet amendement.