L’entretien des réseaux est la première priorité de la programmation. Ce choix ne va pas de soi, car il est sans doute moins spectaculaire d’entretenir l’existant que d’inaugurer de nouvelles lignes à grande vitesse.
Les moyens prévus dans le cadre de cette programmation répondent aux besoins tels qu’ils ont été identifiés sur le réseau. Ils permettent une augmentation de 50 % des crédits destinés à la régénération routière par rapport au quinquennat précédent. Par ailleurs, nous augmentons également de 50 % les crédits consacrés à la régénération ferroviaire.
Les chiffres figurant dans l’amendement ne correspondent absolument pas aux besoins identifiés. Ils correspondent à une évolution beaucoup trop rapide pour que les ressources puissent être dépensées avec efficacité.
En conséquence, j’émets un avis défavorable sur cet amendement.