À mon sens, ces dispositions traduisent un réel bon sens. Au-delà de l’efficacité des infrastructures et de la pertinence des liaisons territoriales, l’enjeu, pour le citoyen, le contribuable, l’administré – appelons-le comme on le voudra –, c’est la crédibilité de la parole de l’État.
Dès lors que des études ont été menées à grands frais, qu’elles ont donné lieu à une ou plusieurs DUP, que les habitants ont cru, en toute bonne foi, que l’on engageait un chantier d’envergure, qu’un aménagement attendu à l’échelle d’un ou de plusieurs territoires verrait enfin le jour, il faut mener le travail à son terme.
J’y insiste, la crédibilité de la parole de l’État est en jeu. Par les temps qui courent, il est bon de rappeler cet impératif.