Madame la ministre, au sujet des CPER, vous vous souvenez peut-être de ce déjeuner que nous avions partagé en préfecture de Montpellier. Je vous avais alors demandé quelle était la situation des CPER.
Or je relis la réponse que vos services m’ont faite à propos de la pérennité de ces contrats ; je l’ai entre les mains, mais je ne vais pas la lire, car cela nous emporterait trop loin. Mais elle ne donne plus aucune garantie quant aux CPER. Je souhaite donc savoir si, entre le mois d’août et aujourd’hui, la situation a évolué.
Votre réponse indiquait que le Président de la République avait la volonté de modifier les choses. Où en sommes-nous ? Il est en effet inutile de discuter des CPER si les règles du jeu doivent changer !