Ce chemin, c’est celui du Parlement !
Aujourd’hui, il y a un malaise en Languedoc-Roussillon où les parlementaires ont le sentiment de ne pas être entendus à Paris faute de grandes voix. Madame la ministre, je vous en conjure, acceptez l’insertion de cet alinéa. Ce n’est pas insurmontable ! Très franchement, à quoi servirait sinon le Parlement ?