En tant que sénatrice d’Occitanie, je plaiderai également, compte tenu du contexte budgétaire favorable, pour la réalisation de ces LGV. Il est impossible de laisser la région Occitanie à la traîne en la matière. C’est une question d’équilibre, pour deux raisons principales.
Tout d’abord parce que nous souhaitons mettre en place une alternative à l’aérien, le rail étant plus vertueux. Nous voulons des projets solides permettant de lutter contre le changement climatique et de diminuer la production des gaz à effet de serre.
Ensuite parce que nous souhaitons développer l’attractivité de la région Occitanie. Cette dernière fait certes preuve d’un beau dynamisme, mais elle risque de subir comme un handicap à l’avenir le fait de n’être pas reliée à Paris par une ligne rapide. N’oublions pas que notre métropole est aujourd’hui celle qui est la plus éloignée de la capitale s’il s’agit de la rallier en train.