Mes chers collègues, la langue française est la seconde langue des organisations internationales – il faut parfois combattre pour qu’elle conserve ce rang –, la troisième langue des affaires, la quatrième langue de l’internet. Ne sous-estimons pas les réalisations et les promesses dont elle est riche. Ne sous-estimons pas l’atout que représente pour nous la francophonie, que nous devons défendre et promouvoir. C’est un combat de tous les instants. Dans les relations entre parlements du monde, les parlementaires de langue francophone ont une responsabilité particulière.