Je veux apporter tout mon soutien à cet amendement, que j’ai cosigné.
Dans de nombreux domaines, on s’aperçoit que prendre en compte le nombre d’habitants pénalise fortement les territoires à faible densité de population, qui ont souvent peu de recettes, alors qu’ils ont à gérer des longueurs importantes de réseaux, notamment de voiries.
C’est peut-être la première fois qu’on arrive à introduire un critère de densité de population dans un système de péréquation. Cela me semble pourtant être une mesure d’équité, qui devrait servir de référence dans bien d’autres domaines.