Pour ma part, face au centralisme parisien, je rappelle que je suis girondin.
Les élus de la Nouvelle-Aquitaine et de l’Occitanie, qui ont bien étudié le projet, y trouvent quelques avantages, notamment la capacité, pour les régions, d’intervenir. Faites-nous confiance, mon cher collègue, nous ne nous lancerions pas dans de grands projets qui reviendraient à nous faire hara-kiri !
Un certain nombre de collègues d’Occitanie l’ont rappelé, ils veulent que ces projets avancent. Certes, comme l’a dit Mme la ministre, il n’est pas utile d’inscrire cette disposition dans le projet de loi. Il s’agit de la possibilité, pour des collectivités, d’organiser, au minimum à l’échelle de leur région, des sociétés, en s’adossant à d’autres collectivités – la métropole ou les départements –, pour mettre en place de grandes infrastructures de transport.
Je demande donc aux élus des régions rurales de bien vouloir soutenir ce projet.