Nous avons donc recherché une solution nous préservant du risque qu’elle ne soit qualifiée de « farfelue » !
Guillaume Gontard vient d’exposer la sienne. La nôtre revient à abaisser le nombre de places de stationnement sécurisées pour les vélos à 1 % du trafic quotidien dans les gares dont la fréquentation est inférieure à 100 000 passagers par jour. Pourquoi ce chiffre de 100 000 passagers ?
Partant de l’idée que c’est pour aller jusqu’à sa gare de RER ou à sa station de métro qu’on a besoin du vélo et que c’est à cet endroit qu’on le laisse, nous avons étudié la fréquentation des gares les plus importantes de banlieue.
Ce chiffre de 100 000 passagers correspond à la fréquentation des gares situées à la périphérie des grandes gares centrales où les besoins de stationnement pour les vélos sont moindres, car les voyageurs y arrivent en général par train et empruntent ensuite le métro.
La proposition est maintenant beaucoup plus raisonnable et, comme le disait Guillaume Gontard, nous sommes à la recherche du compromis !