Au cours de votre présentation, vous avez insisté sur la conception française de la culture, considérée essentiellement comme une dépense alors qu'on parle d'investissement lorsqu'il s'agit du secteur de la recherche. En réalité, la culture est transversale et souffre peut-être de son cantonnement dans un ministère spécifique. Sous la troisième République, il existait un ministère de l'instruction publique et des beaux-arts. Est-ce qu'il ne faudrait pas privilégier cette organisation institutionnelle ?