François Grosdidier a évoqué la mobilité. Il s’agit du trafic parasite que l’on observe aujourd’hui, côté français, sur la rive gauche du Rhin, visant à échapper à une taxe qu’il faut payer sur la rive droite du Rhin. Demain, ce trafic cheminera dans le sillon lorrain : vous n’aurez donc réglé aucun problème !
Peut-être vous serez-vous donné bonne conscience ce soir. Je vous demande donc de garder cet aspect à l’esprit, car il serait dommage de ne pas le faire avant d’aller plus loin dans l’examen du texte. Je vous le rappelle, le fond doit toujours l’emporter sur la forme.