C’est une réalité que nous vivons tous.
Il faut également apprécier le marché avec une vision dynamique. Si l’on prend les parts de marché du passé, alors que les marchés peuvent se recomposer en cinq ans, et si l’on ne tient pas compte des appels d’offres à venir et de la réalité de la concurrence que ceux-ci suscitent, alors on est à côté de la plaque. C’est très exactement notre propos aujourd’hui devant la Commission européenne.
Je signale également qu’il faut avoir une appréciation particulière des plateformes, dans la mesure où celles-ci révolutionnent également l’approche de la concurrence.
Enfin, contrôler les investissements, cela correspond précisément aux décisions qui viennent d’être prises et que je mentionnais à la tribune, relatives au mécanisme de screening des investissements étrangers en Europe.