Je vous remercie, monsieur le secrétaire d’État, de vos réponses. Cependant, je pense qu’il faut aller plus loin et encadrer de façon plus précise la prescription de compléments alimentaires.
Aujourd’hui, dans les Ehpad, des compléments alimentaires apparaissent dans la chaîne des médicaments prescrits, sans aucune maîtrise du consommateur, des patients ou des familles. Les coûts annuels de ces compléments alimentaires sont parfois assez élevés, sachant qu’ils ne sont pas remboursés et que leur efficacité est régulièrement mise en question.
Je ne manquerai pas de poser d’autres questions sur ce sujet.