En matière de protection de la jeunesse, la réglementation est différente dans les deux pays, mais le service juridique veille que ces principes soient respectés. Il ne serait pas possible d'utiliser une procédure hybride. Nous ne voulons pas créer un monstre bureaucratique.
Par ailleurs, recourir à un plus grand nombre de langues dépend des financements. Le sous-titrage coûte déjà beaucoup d'argent, mais l'Union européenne nous consent à ce titre quelques moyens. À terme, il est bien entendu souhaitable d'élargir l'offre de langues.