Je dois excuser mon collègue Guillaume Gontard, qui a dû regagner son département.
Je ne reprendrai pas l’argumentaire de notre collègue Rachid Temal, auquel je souscris complètement. J’ajoute juste que, en quinze ans, quelque 60 % des animaux sauvages ont disparu. Aussi, ce n’est vraiment pas le moment de déroger à un certain nombre de règles européennes qui visent à favoriser la biodiversité, ce qui est précisément l’objet du projet dont nous discutons.
C’est pourquoi nous proposons, nous aussi, d’abroger cet article.