Monsieur le sénateur, votre question est assez paradoxale. Le Premier ministre l’a dit, le grand débat a fait émerger des questions fortes, il a également été marqué par un certain nombre de thématiques qui n’étaient pas abordées – on pense au chômage, à la mondialisation –, mais personne n’a évoqué la place de la présidence de la République dans notre architecture institutionnelle.