Même si ces modèles sont imparfaits, ils prévoient l'avenir en fonction du présent et du passé. Ceux de la RATP, d'Île-de-France Mobilités et des universitaires sont concordants sur un point : il ne faut pas escompter de la gratuité des transports collectifs une diminution significative de l'usage de la voiture. Créer une qualité des transports collectifs inégalée au monde, et mettre en place des mesures restrictives en veillant à proposer une offre de transports alternative satisfaisante, telles sont les deux voies à développer si l'on veut qu'il y ait moins d'automobilistes.