Madame la secrétaire d’État, je vous remercie de votre réponse, très argumentée et précise. Je souhaite véritablement un développement de la recherche dans ce domaine. Le fait que l’Europe apporte une aide financière est un élément positif. Aujourd’hui, faute de pouvoir se faire soigner en France, des malades se rendent en Géorgie ou en Russie, ce qui implique certains moyens financiers.
Affiner la recherche pour faire pièce à la résistance aux antibiotiques permettra d’assurer l’égalité de traitement.
J’ajoute que je souhaiterais être destinataire des conclusions définitives du CSST.