Si je prends la parole, c’est pour vous dire, monsieur le rapporteur, mon profond désaccord avec vos propos. Je ressens exactement la même chose que mon collègue Maurice Antiste.
Je veux bien admettre que les trois premiers amendements présentent une certaine imprécision, mais voter contre l’amendement rédigé par Antoine Karam reviendrait à renier les outre-mer de la France. Je le vis très mal !
Je veux bien accepter l’idée d’être considéré comme un Français de l’étranger, alors que le nom de ma collectivité figure dans la Constitution française. Mais j’estime qu’il serait totalement inacceptable dans cet hémicycle de ne pas adopter l’amendement de M. Karam. À titre personnel, je le voterai.