Monsieur le ministre, permettez-moi d’abord de vous remercier, parce que vous connaissez le sujet et vous ne niez pas la situation.
Je vais maintenir mon amendement, non pas pour contester ce que vous venez de dire, mais parce que des enfants sont en souffrance aujourd’hui, parce qu’un drame peut survenir demain. À titre personnel, je ne souhaite pas en porter la responsabilité, il est donc important pour moi que cet amendement soit voté. Je pourrai ensuite expliquer aux parents que vous estimez que la loi ne permet pas d’ingérence de l’État dans les affaires locales.
Quoi qu’il en soit, monsieur le ministre, j’ai bien compris que vous étiez attentif à la situation et j’espère que nous trouverons d’autres moyens pour parvenir à régler ce problème récurrent à Marseille.