Sans doute est-ce le lot d’un gouvernement qui se situe là, au centre d’un hémicycle, de se prendre ainsi du vent à droite, du vent à gauche et, à la fin, du vent des deux côtés, dans une sorte de méli-mélo.
Je profite de cette occasion pour redire, à l’intention de ceux qui ne l’auraient pas entendu, que l’esprit de cette loi est de fortifier l’école maternelle, considérée comme fondamentale pour l’enfant et fondamentale pour l’école de la République. Je le redis très nettement, nous n’avons qu’un seul objectif : la renforcer à tous égards, quantitativement et qualitativement. Tel est le but de cette loi, et nous le traduisons.
En outre, cela va de soi, nous respectons les choses qui fonctionnent. Ce que nous voulons pour ces jardins d’enfants, c’est organiser cette période transitoire et faire en sorte qu’elle permette des formes de convergence évidemment respectueuses des personnes et de l’intérêt de l’enfant.