C’est sain, en effet.
Je vois deux intérêts à la création de ces établissements publics locaux d’enseignement international, les EPLEI.
Tout d’abord, ce sont les collectivités locales qui en seront à l’initiative et, en tant que Girondin, je trouve cela très bien. Elles partiront des besoins de leur territoire et mèneront ainsi une politique d’attractivité. C’est, me semble-t-il, une excellente chose.
Ensuite, cet article crée des établissements publics, autrement dit des outils à la disposition du service public de l’éducation. Je trouve regrettable que ceux qui s’affirment comme des défenseurs de l’éducation nationale ne donnent pas cette chance à l’école publique.
C’est pour ces raisons que la commission a donné un avis défavorable sur ces deux amendements de suppression.