Je ne crois pas avoir à prouver mon attachement aux langues régionales, lequel a parfois même pu agacer le ministre.
Néanmoins, mes chers collègues, je me dois de vous indiquer que l’apprentissage d’une langue régionale appartient déjà au premier domaine du socle commun de connaissances, de compétences et de culture. Ces amendements sont donc satisfaits par le droit existant.
En outre, je ne suis pas vraiment favorable à des socles communs différents selon les régions, parce qu’ils perdraient alors leur caractère commun.
Je suis donc défavorable à ces deux amendements.