Je veux croire que la réflexion fait son chemin. C’est d’ailleurs le cas parmi nos concitoyens.
Aussi est-il sage de surseoir à aggraver un arsenal pénal déjà très lourd et incapable d’apporter des réponses adéquates au « vivre ensemble » dont nous avons tant besoin et de refuser d’entériner un texte éminemment contestable au regard de nos principes fondamentaux.
C’est la raison pour laquelle je vous demande, mes chers collègues, de voter cette motion. §