La seconde raison porte sur le fond. À l’occasion de l’examen des deux motions précédentes, le ministre de l’intérieur a apporté un certain nombre de réponses sur les statistiques. Je tiens à souligner que tous les chiffres qu’il a cités émanent de l’Observatoire national de la délinquance et non des services du ministère de l’intérieur. Ils sont par conséquent fiables !