Facebook est celui qui a posé le plus de problèmes politiques. Google a mieux réussi à passer sous silence son implication dans la radicalisation (par son moteur de recherche mais aussi par les vidéos de Youtube). Cambridge Analytica s'appuyait sur le micro-targeting via Facebook, mais l'antitrust se pose aussi pour les autres géants du numérique : pour Apple et sa plateforme de distribution, pour Amazon et les clauses léonines qu'elle a parsemé dans ses contrats avec les intermédiaires.