C’est pourtant bien de cela qu’il s’agit, mon cher collègue ! Les évolutions se font, et certaines pratiques finissent par être perçues comme normales.
La situation risque d’être extrêmement difficile pour les médecins pendant quinze ans ou vingt ans ; je pense par exemple aux collègues qui m’ont remplacé à mon cabinet médical. Mais, peu à peu, les choses vont évoluer, et les comportements changer.
Toutefois, aucune mesure, qu’elle soit coercitive ou incitative, ne sera véritablement efficace. Et dans les deux cas, nous n’adressons pas un signal très positif.