Madame Guidez, la présence de psychologues au sein des maisons de santé est déjà possible.
Pour les autres personnels, il faut être vigilant dès lors que les contours de la profession ne sont toujours pas bien définis. S’agissant des hypnothérapeutes visés dans l’objet de l’amendement, l’évolution proposée ne paraît pas, en l’occurrence, la mieux adaptée en vue d’amorcer une reconnaissance de cette profession.
Pour l’instant, la commission demande le retrait de l’amendement. Sinon, l’avis serait défavorable.