Les centres de protection maternelle et infantile, ou PMI, les parents, les puéricultrices prodiguent beaucoup de conseils, notamment au sujet de l’alimentation du bébé. Il semble donc logique de leur permettre de prescrire les dispositifs de soutien à l’allaitement.
Parmi les actes dispensés en priorité par une infirmière titulaire du diplôme d’État de puéricultrice figure « la surveillance du régime alimentaire du nourrisson ».
Madame la ministre, vous avez répondu à nos collègues députés qu’il existe moins d’une centaine de puéricultrices libérales en France et que cette disposition ne facilite que faiblement l’accès aux soins. Cependant, comme nous ne partageons pas le même avis, nous avons décidé de déposer cet amendement !