Je souhaite connaître la position de Mme la ministre sur les autotests de dépistage du papillomavirus, ou HPV, c’est-à-dire du virus reconnu comme l’une des principales causes du cancer du col de l’utérus. Les études montrent que ces autotests sont d’une grande fiabilité. Peut-être faudra-t-il réfléchir à une évolution de ces pratiques, qui tienne compte des innovations.
Par ailleurs, quid de la prévision de remboursement de ces autotests ?