Que les effets indésirables soient constatés par les patients, c’est logique. Nous pensions, pour notre part, qu’il était peut-être préférable que les patients, dès qu’ils constatent ces effets, puissent s’adresser directement à leurs professionnels de santé, qui eux-mêmes devaient ensuite transmettre l’ensemble des informations au système de pharmacovigilance.
Mais l’on peut aussi estimer que les associations et les patients peuvent, après avoir constaté ces effets indésirables, s’adresser directement au système de pharmacovigilance.
La commission s’en remet donc à la sagesse du Sénat.