Il n'y a pas un consentement à payer si la perception de la qualité de l'offre est très basse. À Turin, la ville cherche à relancer le transport en commun en surface. L'idée de faire un péage urbain a été évoquée mais les commerçants s'y sont opposés.
Les clients des transports en commun compiégnois sont les personnes les plus pauvres et les étudiants. Les autres personnes n'envisagent même pas de prendre les transports en commun. Sur les petites villes comme Compiègne, les gens préfèrent payer un billet mais avoir un service de qualité.