Je suis très heureuse que, une fois de plus, la lutte contre le dopage réconcilie les différentes sensibilités politiques. Vous avez eu raison, monsieur Fischer, d’évoquer le nom de Marie-Georges Buffet, qui a pris à bras-le-corps la question du dopage. Son action a été tout à fait déterminante ; elle a été poursuivie par mon prédécesseur, Jean-François Lamour, et Bernard Laporte et moi-même essayons de continuer dans la voie ainsi tracée.