En l’occurrence, il s’agit simplement d’ouvrir une possibilité, celle de prolonger pour six mois au maximum un traitement contraceptif qui a déjà été prescrit.
Il est vrai que, dans le cadre du renouvellement d’un contraceptif, il est nécessaire, comme vous le rappeliez tout à l’heure, de faire régulièrement une analyse de sang, de doser les lipides, les triglycérides, etc. Mais, de toute façon, le pharmacien ne renouvellera pas indéfiniment l’ordonnance. C’est donc une pratique normale, naturelle, allant dans le sens d’une optimisation des compétences qui va être ainsi légalisée