Depuis des années, le réseau de la DGFiP – l’un des plus importants de notre territoire avec près de 3 600 points de contact – se transforme pour s’adapter à la fois aux évolutions démographiques et aux changements de pratique.
Chaque année, de nombreuses trésoreries étaient ainsi fermées, sans visibilité territoriale d’ensemble et sans que les élus, la population ou les agents soient toujours bien informés en amont.
Conscient de l’évolution des missions de la DGFiP – prélèvement à la source, suppression de la taxe d’habitation, etc. – et surtout de la nécessité de s’adapter aux besoins des usagers, le ministre de l’action et des comptes publics a souhaité rompre avec cette pratique en proposant une véritable démarche de concertation, département par département, visant non pas à réduire la présence de ces services publics sur nos territoires, mais, au contraire, à l’accroître de 30 %.