Monsieur Babary, je vous remercie de votre question. Je vous prie évidemment d’excuser l’absence de ma collègue Muriel Pénicaud, qui ne pouvait se joindre à nous aujourd’hui.
De quoi parle-t-on ? D’une réforme ambitieuse que vous avez décrite et qui a été portée par la loi pour la liberté de choisir son avenir professionnel. Elle était fondée sur trois principes très simples : la liberté de créer ou de développer un CFA dans notre pays, en supprimant des obstacles juridiques ou administratifs ; la liberté pour les entreprises d’embaucher des jeunes en apprentissage ; enfin, l’amélioration du statut d’apprenti.
L’impulsion qui a été donnée est positive, puisque nous avons vu croître le nombre d’apprentis, qui s’établit aujourd’hui à 7, 7 %.