Je m'adresse maintenant à deux représentantes d'ONG particulièrement impliquées dans le Women seven ou W7 : Care, représentée par Sophie Chassot, chargée de Plaidoyer, et Equipop, représentée par sa directrice, Aurélie Gal-Régniez.
Je rappelle que le mouvement W7 rassemble des associations qui défendent les droits des femmes et des filles, dans les pays du G7 et dans le monde, et qui se mobilisent pour que le G7 prenne des mesures politiques et économiques susceptibles de renforcer l'égalité.
À cet effet, le sommet du 9 mai à l'Unesco a conduit à l'adoption de recommandations destinées à guider l'action des États, tant dans le domaine de la politique intérieure que dans la perspective d'une diplomatie engagée dans le renforcement des droits des femmes et des filles.
Je vous donne la parole pour nous présenter les attentes des ONG à l'égard du G7, l'organisation du Women seven et son articulation avec l'agenda du G7, et pour nous commenter les recommandations adoptées il y a quelques semaines à Paris.