La question des droits sexuels et reproductifs est au coeur du partenariat de Biarritz et du rapport du conseil consultatif.
Les membres de ce conseil, nommés à titre individuel, sont moins organisés que le Women 7 pour formuler des attentes à l'égard de l'après-G7. Cela étant, nous avons bien l'intention d'obtenir le mécanisme de redevabilité dont je parlais. Nous ne nous arrêterons pas, en toute hypothèse, après avoir rendu notre rapport à Biarritz. À titre personnel, je m'intéresse à la manière de mieux connecter les agendas des féministes nationaux et internationaux. J'ai également l'impression que nous pouvons faire plus avec le ministère des Affaires étrangères : la diplomatie féministe ne saurait se réduire à la coopération Nord-Sud ou au développement. C'est un agenda politique universel.