Ce qui me frappe le plus, c'est que les ministres ayant des biens communs européens dans leur portefeuille ne discutent pas suffisamment avec leurs homologues européens. Si vous êtes ministre du climat, le vrai sujet n'est pas franco-français, mais européen. Dans certains domaines, on ne peut être efficace qu'à l'échelle européenne.
Si l'on veut aller encore plus loin, il faut exiger, dans les traités internationaux, de ne faire du commerce qu'avec ceux des pays qui respectent les mêmes normes. Sinon, ce n'est pas la peine.