La cellule diplomatique de l'Élysée anime un comité de suivi et fait des points d'étape réguliers. La DGLFLF est associée à plus des deux tiers des 33 mesures du plan, que ce soit comme chef de file ou comme partenaire. C'est le cas par exemple de l'appel à projets « action culturelle et langue française » pour une meilleure maîtrise du français par les populations les plus fragiles ; de la constitution d'un groupe de travail sur la « découvrabilité » des contenus francophones sur la toile, avec des préconisations qui seront faites au sommet de Tunis en novembre 2020 ; de la publication d'un dictionnaire des francophones, riche de quelques 400 000 termes ; des jeux olympiques de l'éloquence francophone pour mobiliser les jeunes générations ; etc. À cet égard, je déplore le manque de réseaux de jeunes engagés pour le français et nous devons en constituer. Il y a un mois, nous avons réuni l'Organisation internationale de la francophonie (OIF), ministères et opérateurs pour mieux articuler nos actions.