Monsieur le délégué général, j'ai kiffé votre intervention, mais en cette époque d'ubérisation et de slashing sur le net, nous pouvons être inquiets et frôler le burnt out (Rires). Les dérives linguistiques que l'on observe sont inquiétantes et je m'interroge sur les moyens dont vous disposez pour relever ce défi. Je partage votre orientation : plutôt que de sanctionner, sachons valoriser notre propre langue. Je rappelle que l'apprentissage des langues peut se faire avec beaucoup de facilité avant les cinq ans de l'enfant. Je regrette que les instructions ministérielles fassent parfois peu de cas de la beauté de notre langue : quel signal terrible que de préconiser aux correcteurs de ne pas tenir compte de l'orthographe des copies ! Notre langue, qui faisait l'admiration du monde entier, se dégrade terriblement vite.