Mme la ministre nous a répondu qu’il n’était pas nécessaire d’inscrire le principe de précaution dans ce texte puisqu’il s’applique de toute façon. Je veux donc justifier le dépôt de notre sous-amendement.
L’AFSSA travaille uniquement sur le principe de prévention. Pour elle, il faut des dégâts, des souris mortes, bref des preuves, avant qu’elle ne donne l’alerte.
L’AFSSET travaille sur le principe de précaution. C’est la raison de notre ajout.
Nous prenons acte de ce que vous nous avez dit, madame la ministre, et nous retirons notre sous-amendement.